Le tour de la cour des Miracles en quelques lignes

cour des Miracles

Publié le : 07 août 20207 mins de lecture

Dans le monde, les gens pauvres et mal habillés existaient depuis des millénaires. A Paris, ils habitaient vraiment dans un endroit qu’ils ont créé depuis l’Ancien Régime. Ces personnes venaient pour chercher du travail. Ils devenaient paresseux en vain pour chercher de quoi se nourrir et remplir leur ventre creux. Ils constituaient les vagabonds, les mendiants, les prostituées,…Ils appelaient le coin où ils se logeaient la cour des Miracles. Cet endroit a une grande histoire. L’une des raisons de cette appellation est que dans cette place, même les aveugles retrouvent la vue et que les handicapés retrouvent l’usage de leurs membres inférieures et supérieures. N’est ce pas un miracle? Mais leur but en général c’est d’avoir la compassion des passants en les incitant à offrir de l’argent. Pour eux, la cour des Miracles est une sorte de vestiaire pour masquer leur vêtement comme porter des pantalons et des chemises usés ou totalement déchirés ainsi que mettre des cagoules pour les vols à mains armées.

La signification de la cour des Miracles et son historique

Elle a été crée pour la première fois à Paris. C’était sous l’ancien Régime. C’est une place des quartiers de la France. A la tombée de nuit, ces gens malodorants disparaissaient de cet endroit qu’ils considéraient comme leur résidence, leur maison. C’est un miracle, c’est pour cela que l’on appelle la cour des miracles. Si on faisait des recherches, ce sont tous des gens normaux qui n’ont pas envie de se trouer la tête à chercher de l’argent. Ceux sont des personnes défavorisées venant de loin pour chercher du travail ou des gens misérables de la ville. Ce nom n’apparait dans aucun plan topographie de Paris. C’était pendant le règne du Roi Charles V que les premières personnes de la cour des Miracles apparaissaient. Elles représentaient la population d’une petite partie délimitée par deux ruelles de France. Pour y accéder vous devrez descendre une route en pente qui n’est pas droite et qui est faites de terres molles appelées boues. A l’entrée, il y avait une cabane remplie de pourriture et de débris. Dans ce taudis vivaient au moins cinquante familles alors qu’elle ne mesurait que 60 mètre carrées. Les habitants de cet endroit avaient un roi qu’ils appelaient Coësre. Pour plus d’informations, veuillez visiter des sites comme www.paris-anecdote.fr.

Les territoires de la cour des Miracles

Presque toutes les grandes villes possédaient leur propre cour des miracles mais c’était à Paris qui en avaient le plus. C’était l’une des plus grandes ligne de l’histoire paris. Voici quelques-unes d’entre elles : la cour du Roi François se trouvait au 328ème dans la rue du saint Denis, la cour de la Sainte nommée Catherine qui se situait au 313ème rue du saint Denis aussi, la cour appelée Gentien qui se trouvait dans la rue des Coquilles, la cour nommée Jussienne qui se situait dans la 23ème rue du même nom, la cour dans la rue de Reuilly sur le 81ème, la cour du Brisset est entre la rue de la Mortellerie et la rue Pernelle. A cette liste s’ajoutre: la cour du Saint Honoré qui se plaçait entre 3 rues qui sont Saint-Honoré, Saint Nicaise et la fin c’est l’Échelle. Une autre cour des miracles se situe dans la rue du Bac au 63ème. Dans le 26ème, il y a aussi une qui se trouve autre entre la rue des Tournelles et de Jean Beausire. Un écrivain nommé Victor Hugo avait fait allusion à cette cour des Miracles dans son œuvre : Notre Dame de Paris. Le Coësre avait d’après lui plusieurs grands lieutenants qui étaient les cagous.

Les différents noms qu’on donnait aux mendiants et voleurs

Il y avait plusieurs noms qu’ils ont utilisés pour nommer les mendiants ainsi que les voleurs. Les soldats qui étaient au service du roi sont appelés narquois ou drilles. Comme on l’avait remarqué : ils étaient tous faux comme les riffaudés pour ceux qui se présentaient comme étant les victimes. Pour les personnes qui étaient malades : ils les appelaient les malingre. Mais pour ceux qui simulaient l’épilepsie étaient, se sont des francs-mitoux. Pour les estropiés : c’étaient les piètres. Les souteneurs de celui qui gouvernait se nommaient : les marfaux ou marjauds. Pour les marchands : ils les nommaient les mercandiers. Pour les personnes qui mendiaient dans les bars ou dans d’autres endroits: il y avait les capons. Il y a la saison froide qui était réservée aux courtauds de Boutange pour aller mendier. Les millards étaient ceux qui volaient à la tire. Pour eux, les orphelins étaient des petits garçons presque nus pendant toute l’année. Ces types de personnes salissaient le pays sur le domaine du tourisme. Mais heureusement, ils n’ont pas duré longtemps.

La disparition par miracle de ces gens

C’est pendant le règne du Roi Louis XIV qu’apparaissait des lieutenants généraux. Ils s’occupaient de faire disparaitre ses misérables personnes. Ils entraient dans l’enceinte de la cour des Miracles et leur disaient que les douze dernières personnes qui y restaient seraient pendu et que c’était l’ordre du Roi. C’était la seule solution pour les faire fuir au loin. Si vous venez visiter Paris en ce moment, ce ne serait que du mauvais souvenir pour la population française. Il n’y avait jamais de livre racontant leur existence, la majorité des gens ont pensé que c’était une pure invention de la littérature. Après le nettoyage des endroits qu’ils ont fabriqués comme les maison, maintenant, il y a quand même des personnes qui ont cette mode de vie. Leur nombre est inférieur par rapport à celle de cette époque.

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